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Artisana Traditionnel et Idéal Bien-Faisant
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Artisana Traditionnel et Idéal Bien-Faisant

VIP-Blog de boulanger-national-socialiste
  • 19 articles publiés
  • 17 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 13/03/2007 15:07
    Modifié : 11/04/2007 20:25

    Garçon (16 ans)
    Origine : Près d'Yverdon-les-Bains / Nord-Vaudois/ Suisse
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    Le Hàvamàl : les paroles d'Odinn

    28/03/2007 19:54

    Le Hàvamàl : les paroles d'Odinn


    Le Hàvamàl : les paroles d'Odinn

    Sélection

     

    VI 6-9
    Rarement malheur arrive au sage 
    Car il n'est point de meilleur ami 
    Que sa propre clairvoyance.

    XVI
    Le lâche pense vivre pour toujours 
    S'il se tient loin de la bataille
    Mais la vieillesse le privera de la paix
    Qu'une lance ne lui a pas accordé 

    XXV
    Le sot pense que tous ceux
    Qui rient avec lui sont ses amis
    Alors il découvre
    Quand il vient à l'assemblée
    Que peu parlent en sa faveur 

    XXIX 4-6
    Une langue bien pendue 
    Si elle n'a pas de bride
    Souvent se porte préjudice 

    XXXIV
    Un grand détour n'évite pas
    De rencontrer son ennemi
    Même s'il habite tout près
    Mais pour aller chez l'ami cher
    Toute route est bonne 
    Même s'il est parti au loin 

    XXXVI
    Une cabane bien à soi est bien bonne 
    Même si elle est petite
    Chez soi chacun est maître
    Deux chèvres et une hutte au toit de chaume
    Sont mieux que de quémander 

    XXXVIII
    De ses armes sur la plaine 
    Mieux vaut ne pas se séparer
    Car on ne sait jamais quand sur le chemin
    On aura besoin de sa lance 

    XLVII
    Jeune je fus jadis 
    Je cheminais solitaire
    Alors je perdis ma route
    Riche je me sentis 
    Lorsque je rencontrai autrui
    L'homme est la joie de l'homme 

    XLVIII
    Les hommes généreux et audacieux
    Sont ceux qui vivent le mieux
    Rarement le chagrin les accable
    Mais le lâche vit dans la crainte
    Et l'avare dans la petitesse 

    XLIX
    J'accrochai mes vêtements
    A deux poteaux de bois sur la plaine
    Ainsi vêtus, ils avaient fière allure
    Mais nu, je n'étais rien 

    L
    Le jeune pin dépérit qui se dresse solitaire
    Nulle écorce ni aiguilles ne le gardent
    Ainsi l'homme qui n'est aimé de personne
    Comment vivrait-il bien longtemps ? 

    LIII 4-6
    Tous les hommes ne sont pas sages également 
    L'imperfection règne partout 

    LVI 
    Modérément sage devrait être chacun
    Jamais trop sage
    Celui qui ne connaît pas d'avance son destin
    A le coeur plus léger 

    LVIII
    Il doit se lever tôt le matin
    Celui qui d'autrui veut ravir la vie ou les biens
    Rarement loup couché trouve repas
    Ni homme dormant la victoire 

    LXIV
    De sa vaillance il faut user avec modération
    Car on peut découvrir 
    Que parmi les braves
    Nul ne peut à lui seul de tous triompher 

    LXVIII
    C'est le feu qui est le meilleur
    Pour les fils des hommes
    Ainsi que le spectacle du soleil
    La santé si on peut la garder
    Et vivre une vie honorable 

    LXXI
    Un boiteux monte à cheval
    Un manchot garde les troupeaux
    Un sourd peut combattre et être utile
    Mieux vaut être aveugle que mort
    Un mort n'est utile à personne 

    LXXII
    Mieux vaut avoir un fils
    Même s'il naît après la mort de son père
    Rarement pierre commémorative 
    Se dresse au bord du chemin
    Si le parent ne l'érige au parent 

    LXXVI
    Meurent les biens, meurent les parents
    Et toi aussi tu mourras
    Mais la réputation ne meurt jamais
    De celui qui a vécu honorablement 

    LXXVII
    Meurent les biens, meurent les parents
    Et toi aussi tu mourras
    Mais je connais une chose qui jamais ne meurt :
    Le jugement porté sur chaque mort 

    LXXX 2-6
    Quand tu interroges
    Les runes venues des dieux,
    Celles que firent les dieux suprêmes
    Et que colora le mage suprême,
    Le plus sûr est de se taire. 

    LXXXI
    C'est le soir qu'il faut louer le jour
    La femme, quand elle a vécu
    L'épée, quand on l'a éprouvée
    La vierge, quand elle est mariée
    La rivière gelée, quand on l'a traversée
    La bière, quand elle est bue 

    LXXXIV
    Parole de femmes nul ne devrait croire
    Car sur une roue tournoyante
    Leur coeur a été façonné
    Inconstance a été placée en leur sein 

    XCV
    Mon âme peut seule juger
    Ce qui est dans mon coeur
    Je suis seul avec moi-même 
    Il n'est pire peine pour un homme sage
    Que de n'être pas satisfait de lui 

    CXIX 5-10
    Si tu as un ami
    En qui tu as toute confiance,
    Va le trouver souvent
    Car les taillis croissent
    Ainsi que l'herbe haute
    Sur le chemin que nul ne foule 

    CXXI 5-10
    Avec ton ami ne sois pas le premier à rompre
    Le chagrin dévore le coeur 
    De qui n'a personne à qui ouvrir son âme 

    CXXIII 1-3
    D'un méchant homme
    Jamais tu n'obtiendras récompense
    Pour tes bonnes actions 

    CXXXIII 4-6
    Il n'est nul homme excellent
    Qui ne soit sans défaut
    Ni si mauvais qu'il ne soit inutile 

    CXXXIV 5-7
    Du vieux sage ne ris jamais
    Souvent est vrai ce que disent les anciens.








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